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Sincèrement qui n'a jamais rêvé d'avoir des aîles et de s'envoler? Utopie...non... enfin peut-être... De là-haut, tout doit être plus simple. Haute, volatile, futile. Autant de mots doux pour Une Femme, Des Femmes. Le film de toutes les vies en images intemporelles, saupoudré de parfums subtils. Douceur d'un nuage venant embrasser langoureusement l'aîle de l'ange portant regard sur nous. On y croirait presque
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Sans titre
Sons dégainés
Paroles nuancées
J'ai cru m'envoler
Je me suis désintégréeAbus de murmures
Implicites de désintox
Mon coeur devient couleur inox
Entre ces quatre mursQues des frissons pour passion
Mon âme a peur
La moindre attention
M'enfonce dans un tendre tristeJ'ai déjà vu le christ
Abuser de mes prières
M'enfoncer dans un tendre triste
Et me faire devenir charnièreTourmente la poudre
M'encombre la tune
Je ne veux plus coudre
Avec le fil de leur fortune.
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Nalcaya V1
C'est comme cela qu'elle se pense.
Nalcaya est dans son monde.
Petit bout de femme caricaturale d'une princesse intersidérale déposée sur la terre dans une capsule en coton.
Nalcaya V2
C'est la nalcaya optimisée.
Orgie de mangas, illustrations, figurines...que je déteste
Nalcaya V3
Elle me l'a montré une fois.
Décalée, orgasmiquement déchaînée.
Les flots lumineux ne laissaient transparaître que sa silhouette.
Tout son corps valsait et bifurquait vers la voie qui est la mienne.
C'est ma Nalcaya, princesse des temps modernes.
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